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« You're jerk you know? »

«Bip … Bip … Bip … Bi … CRASH » … « Mmmm... pas envie …. ». Notre belle blonde sortie de son lit. Elle avait teint ses cheveux bruns en blonds la veille et devait encore terminer quelques finitions sur sa nouvelle couleur. Elle était d'ordinaire brune. Mais il lui arrivait parfois de changer de couleur et de se mettre en blond quand ça lui prenait. Elle se traina jusque dans la salle de bain et y entra avant son frère, qui dormait encore paisiblement dans sa chambre. Josh et elle vivaient ensemble depuis qu'elle a quitté Julian. C'était plus simple pour eux et aussi mieux puisqu'ils se surveillaient en permanence. Par contre, ils dormaient à plusieurs mètres l'un de l'autre pour éviter d'entendre des drôles de bruits lorsque l'un ou l'autre ramener quelqu'un dans l'appartement. Elle se lava pendant une bonne heure, mais elle s'occupait surtout de sa touffe fraichement blonde. Enfin, elle se sécha les cheveux et admira le résultat. Satisfaite, elle sortie de la salle de bain avec sa serviette autour de sa poitrine puis, elle partie s'habiller : jeans, basket et débardeur. Elle se parfuma, mit du déo', prit son sac et partie dans la cuisine où son petit frère prenait son p'tit dej'

« Le blond t'a manqué Zaz ?

demanda-t-il avec un léger air moqueur

– La ferme Josh …

dit-elle avec un ton désinvolte

Notre belle blonde finit son petit déjeuné à la française : c'est-à-dire qu'elle prend et prendra toujours son petit déjeuner sucré. Elle lava rapidement ses affaires, son frère et elle s'activèrent pour partir au travail. Ils se jetèrent les affaires et partirent ensemble. Sauf que lui, préférait prendre sa bécane et elle sa voiture. Ils partaient ensemble, mais chacun leur véhicule au cas si l'un ou l'autre partirait plus tôt ou tard.

Erza jeta sa veste sur le porte manteau du bureau de son oncle et partie se pointer. Elle entra ensuite dans le garage avec son frère afin de pouvoir commencer son travail. Toute la matinée, elle ne fit que réparer, déplacer,prendre, changer etc. De plus, elle avait été obligée de gueuler contre un mec macho' qui l'avait regardé avec un air bizarre. Les autres mecs s'étaient fichu de lui puisque les collègues de notre chère Erza connaissait le caractère assez m*rdique qu'elle pouvait avoir. Cependant, le gars au lieu de faire sa bouche, continuer à débiter des propos injurieux vis à vis de notre belle … devenue blonde. Fortement énervée, elle lui balança une clé à molette en pleine poire. Il eu de la chance de l'éviter, sauf qu'il n'évita pas un coup de poing en plein dans le nez

« Tu vois ta caisse ? J'vais te la dégommer si tu continue à me gonfler t'as comprit ?

menaça-t-elle énervée

Le mec décida d'avoir l'intelligence de partir.

« Pas parce que j'me suis teinte en blonde qu'il faut me gonfler avec toutes ces conneries machistes ...

marmonna-t-elle dans sa barbe

Le temps passait, elle ne prit pas son déjeuner, trop absorbée par son travail. Cependant, elle se prit un petit truc dans les coups de seize heure trente. Ses collègues commencèrent à partir alors que d'autres restèrent jusque six heures du soir. Son oncle était à l'accueil en train de discuter avec un mec. Elle ne fit pas attention, c'est elle qui fera la fermeture et son frère était déjà partie. Earlie arriva dans le garage

« Hum … Erza … tu veux bien t'occuper de Billie s'il te plait ? Je sais qu'entre vous c'est pas l'amour, mais … c'est un ami … fait un effort s'il te plait »

demanda-t-il en regardant sa nièce qui soupira et fit un signe de tête

Earl s'en alla en saluant Billie, toujours à l'accueil. Notre belle blonde se lava les mains remplis d'huile, se rattacha les cheveux et alla voir ce macho de Billie qu'elle n'arrivait pas à voir en peinture

« Salut Bill … tu veux quoi comme pièce aujourd'hui ?

demanda-t-elle d'une manière ni trop chaleureuse et ni trop cassante

Elle était derrière le comptoir et attendit la réponse de son « cher ami » Billie

Invité

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If i'm a jerk then you're too

Deux jours, deux nuits et pas un gramme de sommeil. Rien. Le repos, Billy pouvait toujours courir pour en avoir. Son emploi du temps était un véritable massacre conséquence directe : il n’avait quasiment aucune vie privée. Il raccrocha son uniforme et troqua son habit contre des vêtements plus confortables, disons. Derniers regard porté aux manettes de contrôle, il prit la route sous le bourdonnement désagréable de son embrayage : complètement irrité par l’absence prolongée de ce fichu marchand de sable. Pourtant, il avait le droit à des poses régulières. Des poses, genre, poses qu’il n’affectionnait plus de la même manière. « Vous êtes promu capitaine », excellent avait-il pensé. Le désenchantement n’avait pas mis longtemps à pointer le bout de son nez. Regrettait-il son choix professionnel ? Parfois. Et puis, quand il arrivait à sauver une vie, il changeait d’avis. « Oh crap ! » cracha-t-il, calant sec sur un rondpoint. Les klaxons : quelle invention débile ! « VOS GUEULES » écuma-t-il, démarrant à nouveau son vieux tacot. Shultz passa très vite la première et poursuivit sur sa lancée. Excellent, une facture de plus souffla-t-il, actionnant le clignotant droit : une visite chez Earl s’imposait. Dans un crissement, il s’arrêta nette devant l’enseigne. Il se faisait tard, les rues se vidaient et la boutique aussi. Est-ce qu’il avait assez de temps pour réparer de lui-même le problème ? Carrément pas, d’ailleurs lorsqu’il pénétra dans l’établissement il remarqua que le seul mécanicien présent était de sexe féminin, blond – ce qui lui tira un rire- : non. Il arqua un sourcil, salua poliment les quelques clients et vint échanger une poignée de main avec son vieil ami. « Hey qui va là, le plus beau, le plus grand » rétorqua-t-il, un sourire venant fendre ses lèvres tandis que Earl prenait place face à lui questionnant à propos des raisons de sa visite : « Mon disque embrayage est complètement naze, j’ai besoin de le changer rapidement sinon j’me vois sourd dans une semaine ». Son regard passa d’Earl à Erza dite « El Hombre », surnom totalement dépourvu d’affection qu’il lui avait octroyé. Quoi ? N’avait-elle pas des manières d’hommes ? Pas que le physique, le comportement : aussi. Pas besoin de lui faire un dessin : il comprit. Cette emmerdeuse allait devoir « dialoguer » avec lui, cela lui parut plus difficile à réaliser qu’une équation mathématique. Il tapotait le comptoir avec lassitude lorsqu’il la vit se diriger lentement dans sa direction : caches ta joie, songea-t-il, lui-même profondément agacé par la présence de la -tout juste- peroxydée : « Salut Bill … tu veux quoi comme pièce aujourd'hui ? ». Salut Bill ? Eh bien, elle prenait sur elle-même cette soirée-là. D’habitude, il se serait charcuté pour avoir ne serait-ce qu’un grognement de sa part. Il poussa un soupire puis articula ce qui ressemblait à un « Salut Erza » aux oreilles étrangères cela résonnait plus comme un râle : « Grrgh Ezraaa ». Certes mais le ton employé par la demoiselle ne lui avait guère plu : « Demandé si gentiment : un disque embrayage. T’connais l’modèle de ma caisse, je te laisse aller farfouiller dans la remise ». Pas de politesse entre ces deux-là, jamais. Et puis : c’était quoi cette nouvelle couleur ? Est-ce que quelqu’un lui avait dit que ça n’allait pas à tout l’monde ? Grand doute. Billy Shultz : un effroyable chieur. Il enchaina : « T’as renversé le white spirit sur ta tignasse ? Un problème avec les colorations industrielles, el hombre.» Il aurait pu recevoir une clé à molette dans la figure, un tournevis : le comptoir même ! Pas d’hésitation : c’était une sauvage et lui : il aimait la pousser à bout. Une dure à cuir, se vantait-elle. Okay, let’s see. A son grand étonnement, mademoiselle le damoiseau fit preuve de diplomatie, elle répondit avec self control. Bizarrement, il ne se trouvait jamais assez méchant avec le spécimen. Comme pour lui taper sur les nerfs. Les insultes arriveraient plus tard, il ne s’en faisait pas.

Notre belle brun … non blondinette maintenant, avait un self-control des plus contrôlé. La jeune femme lui demanda s'il avait besoin d'une pièce. Billie répondit qu'il avait besoin d'un disque d'embrayage. La jeune femme arqua un sourcil sans rien dire et s'apprêtait à partir vers la remise lorsqu'il lui lança une réplique digne de lui. Elle soupira, mais ne se retourna pas. Elle s'en alla vers la remise : « Pu .. ain … faut qu'Earl se casse … peut pas rester tenir la patte à ce crétin ? … Bon l'est sa fichue pièce que j'la lui balance dans sa tronche … ». Erza ne supportait pas ce mec. Elle cherchait dans les endroits appropriés à son vieux tacot et trouva ce qu'elle cherchait. Elle prit la pièce en question – le disque d'embrayage – puis revint vers Billie et la luit mit sur le comptoir

« La pièce c'est … 80$ vu le bordel que tu te ramasse … mais je te fais grâce de la pose. J'vais t'le faire ça va prendre pas longtemps ... »

disait-elle en passant l'article dans la machine

Elle décida de ne pas être agréable avec ce crétin. Elle ne le supportait pas. Puis, elle le regarda et demanda les clés qu'elle prit. Elle marcha ensuite en dehors du garage afin de pouvoir ramener le « bordel » de Billie, comme elle le dit,d ans le garage. Avant de passer la porte, elle s'arrêta, se retourna et regarda le jeune homme

« Au fait Bill … vas ch*er »

disait-elle en passant par la porte

Elle soupira et alla vers le tacot du blond. Elle entra dedans, claqua la porte, avec douceur, ya qu'avec la voiture de Bill qu'elle est douce, mais pas avec le propriétaire. Elle alluma la machine et haussa les sourcils lorsqu'elle entendit le bruit. Elle emmena ensuite doucement la voiture dans le garage et se gara vers son coin à elle. La voiture qu'elle avait réparée quelques heures plus tôt était avec les autres : sur le parking derrière le garage. Elle éteignit ensuite le moteur et sortie. Elle regarda Billie d'un air qui voulait : « sans commentaires sur ta caisse » puis lui prit le matoss des mains.

«Qu'est ce que t'as foutu pour que ta caisse te gueule dessus ? J'vois qu'entre toi et les femmes c'est l'amour fou … entre toi et moi, le plus blond de nous deux c'est toi »

balança-t-elle en commença son travail

Elle alla ensuite vers sa boîte à outil. Là, elle prit des autres clés. Elle se retourna et prit soin de pousser Billie au passage

« Bouges de mon chemin »

Il prenait un malin plaisir à la gonfler, elle faisait de même. Elle continua son travail avec acharnement, elle avait enlever le circuit de refroidissement, elle continua de faire son boulot. C'est alors que son téléphone portable sonna. Elle reposa les affaires délicatement et partie prendre son cellulaire, après s'être essuyée les mains. Elle eu son frère au bout du fil, elle lui annonça qu'elle était encore prise et qu'il devra manger certainement seul ce soir. Elle raccrocha et retourna à son travail en re poussant Billie

« Tu pouvais pas v'nir à une heure moins tardive ? Non … faut que tu vienne me gonfler en fin de journée … »

Erza était une sacrée râleuse … et elle fera payer cela à Billie jusqu'à ce qu'elle ait terminée

Invité

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Lorsqu’elle disparut dans la remise, il poussa un juron. Espérons qu’elle ne s’y perde pas, souffla-t-il, sachant lui-même combien l’endroit devait ressembler à une jungle. Elle réapparut aussi vite qu’elle y était entrée, un surplus de poussière ornant ses épaules : « La pièce c'est … 80$ vu le bordel que tu te ramasse … mais je te fais grâce de la pose. J'vais t'le faire ça va prendre pas longtemps ... ». Lui faire grâce ? « C’est ta nouvelle couleur qui te rend si généreuse ?! » cracha-t-il peu amène. « Fais gaffe à ma voiture » ajouta-t-il alors qu’elle lui tendait la main quémandant ses clés : « Au fait Bill … vas ch*er ». Vas chier ? C’est ça, j’y vais après toi, tiens montres-moi l’chemin pensa-t-il, se gardant de relever la remarque. Pourquoi montrer ne serait-ce qu’une touche de respect envers une personne qui ne le fait manifestement pas ? Donnant/Donnant dans la vie, c’est comme ça que ça marche, non ? Ce qui suivit eu lieu assez vite : la demoiselle démarra la voiture, avança le véhicule jusqu’à l’intérieur puis évalua les « dégâts » en vue des rictus qui prirent forme sur le visage de la sauvage : l’entretient était mauvais. Rien pas même un commentaire juste une tonne de mépris envers lui et une délicatesse sans limite : elle lui arracha l’embrayage des mains juste avant de se mettre au boulot : « Ma caisse et moi, au moins : ça dure. Il est passé où toi, ton dernier rencart ? » Pour qui se prenait-elle : « Plus blond que toi, en effet. Le naturel : tu ne connais pas. Ton changement à un nom ? Ou est-ce que tu penses que cette couleur va te permettre de passer du statut vierge au statut maqué ? ». Blessant, salop : elle méritait, point. Ce qui était étrange, c’est qu’elle gardait son calme : frappe ! Songea-t-il, posant à nouveau son regard sur Erza. « T’as rien d’autre à faire, gamine : me pousser, remarque c’est de ton âge ». Portant son attention sur sa montre, il constata que son repos allait être de courte durée surtout s’il tenait à assister aux réparations qui s’éternisaient et semblaient outrageusement perdurer sous les répliques hargneuses de la chieuse : « Tu n’sais toujours pas que c’est un vrai plaisir pour moi de te regarder travailler ? Surtout en fin de journée» persifla-t-il, croisant les bras sur son torse deux secondes. Lui qui avait pour habitude de fermer sa bouche avec la bestiole dans les parages : il l’ouvrait beaucoup trop à son goût ! « Magne-toi, t’es encore plus lente qu’un croulant. J’aurais 35 ans à la fin de ton trifouillage ». Il décida que s’en était trop pour ses nerfs, trop pour sa patience : « Trop c’est trop ! » lâcha-t-il, enlevant d’un geste vif sa veste, qu’il balança sur le sol avant de la rejoindre sous l’capot : « Pas besoin de démonter toute la voiture pour changer l’embrayage ! Passe-moi mon circuit de refroidissement » ordonna-t-il, remontant les manches du pull en coton qu’il portait, il poursuivit : « Tu vois là ? Y’a assez de place pour les manipulations ». Billy ne lui accorda pas le temps nécessaire pour rouspéter, il allait s’occuper lui-même de ça qu’importe qu’il soit fatigué, qu’il ait une ptain de migraine qui lui tiraille le cerveau ou qu’il n’ait pas mangé un seul morceau depuis 10 heures ! « J’aurais beaucoup de choses à t’apprendre, petite » La politesse, entre autre.

Avec Billy dans ses pattes, ce n’était franchement pas cool. Elle ne portait pas attention a ses propos machistes. Elle avait juste hâte que sa réparation soit terminée pour rentrer chez elle afin de maudire le plus possible Billy. Le maudire à tel point que ses oreilles en saigneront. A tel point que sa tête lui donnerait es migraines pas possible. Fraichement devenue blonde, elle savait qu’elle n’échapperait pas aux moqueries du jeune blond lui-même. Elle se taisait et continuait son tafe à son rythme. Trop perfectionniste, elle n’aimait pas faire les choses rapidement et à moitié. De plus, son allure était un peu plus lente en raison de son état de fatigue et elle avait juste hâte d’aller se doucher. Elle le laissait râler, de plus, elle allait même encore moins vite juste pour l’embêter un peu et ça a marché. Ça a tellement marché qu’il lui a donné un coup assez violent si bien qu’elle s’est retrouvée par terre. Retenant le moment d’exploser, elle donna les affaires à Billy quand il les lui demandait et lorsque le tout ut terminé, il n’en fallait pas moins de quelques minutes, en plus elle aurait certainement finit dans ces heures-là, il s’en est vantait. Trop, c’était trop. D’un revers de main, elle jeta de son bureau de travail une pièce qui tomba en fracas sur le sol faisait ainsi un bruit assouridssant

« C’est bon ? T’as fini ? Tu sais ce qu’elle te dit la « pute » qui sait pas y faire en méca ? Elle te dit DEGAGE de mon espace vital, casse toi avec ta p*tain de voiture et vas te taper des nanas parce que mon gars, t’as les co*illes qui ont besoin d’être vidanger et si t’es pas content d’mon traitement de faveur, alors casse toi et viens plus m’gonfler avec tes arguments à la c*ns. Sale machos d’première »

Erza était énervée, elle n’avait jamais pété les plombs ainsi, surtout pas avec lui. D’ordinaire, elle lui aurait balancé aussi des piques, mais là, elle était assez crevée e sa journée. De plus, il se fichait d l’embêter et le comble de tout cela, il continuait son récital de macho de première. Erza croisa les bras, elle en avait marre de lui, marre qu’il lui parlait comme cela et marre qu’il soit aussi arrogant avec elle. Surtout qu’il se moquait d’elle et de sa blondeur de cheveux alors que lui-même étai blond. Cherchez l’erreur. La jeune femme soupira. Elle déglutie. Elle fit en sorte de calmer ses nerfs avant de lui en mettre une en pleine poire. Pour l’instant, le seul mec qui avait eu le droit à une baffe en pleine figure, c’était bien entendu le flic qui avait interrogé elle et son frère : Alek. Celui-ci lui avait rentrait dans les nerfs, elle s’était jetée sur lui pour lui coller une baffe mémorable et une « bagarre » s’était enchaînée par la suite. Cette histoire avait fait pas mal de bruit dans le garage et pendant au moins une semaine, on avait évité d’énerver notre jeune ancienne brunette. Erza était peut être revenue blonde, elle est blonde naturellement, mais elle n’était pas moins idiote. Et qu’on l’a prenne pour une bleue l’énervait au plus au point. Déjà que les mecs du garage quand ils l’ont vu blonde, ont préféré faire profil bas en raison de son caractère légèrement merdique. La jeune femme était devenue plus sombre et plus sur la défensive qu’avant. Ethan avait été une période très douloureuse pour elle et elle préférait désormais grogner, montrer ses crocs et mordre dès que l’occasion se présentait. Comme ici avec Billy. D’ailleurs, elle trouvait dommage qu’il soit si macho, car elle le trouvait physiquement à son goût, sauf que c’était son secret et ne souhaitait pas qu’on le sache