Sujet: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Jeu 25 Aoû - 17:27
Comme à peu près 362 jours par année à Gold Coast, aujourd'hui le soleil brillait de ses rayons les plus chauds faisant sortir la majorité de la population de la ville à l'extérieur de leur cher appartement si douillet. Cayleihn elle-même n'avait pas envie de rester vautrer dans son canapé, elle voulait profiter de la nouvelle vie extraordinaire qui s'offrait à elle. Personne ici ne savait qu'elle avait voulu se suicider, seulement elle et bien qu'elle avait réussi à s'en remettre et à retrouver une joie de vivre hors du commun, voir toutes les cicatrices sur son corps lui rappelait toute la souffrance qu'elle avait pu vivre durant toute une année. Mais hé la jolie blonde était d'une force surhumaine, elle continuait sa quête du bonheur à Sydney et ses petits moments de tristesse ne gâcherait au grand jamais tout ce pour quoi elle se battait chaque jour. Aujourd'hui donc il lui fallait faire une activité enrichissante qui sortait de son train train habituel. Le Sea World Resort était l'endroit parfait pour ça ! Voir tous ces magnifiques animaux aquatiques lui changerait les idées et même qui sait peut-être s’essaierait-elle à une petite nage avec ceux-ci. Elle enfila donc sur son corps de déesse une petite robe jaune complètement adaptée pour l'occasion sous laquelle elle mis son bikini, juste au cas où. Avant de quitter son appartement elle prit bien soin de ramasser son blackberry sur le coin de la table de chevet qui longeait son lit. Ce cher blackberry, elle ne pouvait aller nul part sans lui parce qu'il faisait partie intégrale de son travail, et son travail prenait beaucoup de place pour elle. N'ayant que quelques amis et personne à aimer, il lui fallait quelque chose pour passer la plus grande partie de ses journées et c'est son travail d'agente qui prenait cette place. Elle était déterminée à exceller jusqu'au sommet, devenir la meilleure agente artistique de Sydney, et dieu sait que quand Cayleihn voulait quelque chose il n'y avait personne d'assez fort pour l'en arrêter.
Donc voilà, elle avait choisie la marche pour une fois et après avoir marcher pendant à peu près 30 minutes elle était maintenant rendue ai Sea World Resort. Après un petit coup d'oeil rapide, Cay' pouvait déjà affirmer qu'il y avait un monde fou ici aujourd'hui donc heureusement qu'elle connaissait un peu les lieux car sinon il serait bien facile de se perdre dans la foule. Sa première destination était là où se trouvait les ours polaire. Elle se demandait d'ailleurs comment un ours polaire qui était adapter pour vivre dans des endroits très froid arrivait à survivre dans une ville aussi chaude que celle de Gold Coast mais bon il devait bien réussir car il était toujours là, vivant. Cayleihn le regardait admiration quand elle sentit son téléphone vibrer dans sa poche. C'était sa boss qui lui demandait des informations sur un de leur plus gros client à l'agence. Elle lui répondait donc en marchant quand tout à coup elle fonça dans un beau blond. « Je...he...je... » Ha non merde c'est pas vrai ! Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? C'était pourtant pas difficile de s'excuser à un garçon, surtout elle qui savait tellement bien s'exprimer. C'était la première fois de sa vie que sa bouche bloquait autant, d'habitude au contraire c'était elle qui enlevait les mots de la bouche des autres avec ses phrases bien faite. « Désolé. » Voilà la seule chose qu'elle trouve à lui dire, assez froidement d'ailleurs. Elle décida donc de s'éloigner du garçon assez rapidement pour ne pas s'humilier encore plus. Mais même loin elle ne pouvait s'empêcher de le regarder... Prend sur toi Cayleihn tu as l'air d'une maniaque !
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Jeu 25 Aoû - 20:18
« L’amour est un poisson d’avril. »
Qu’est-ce que ça pouvait bien faire ? Arthur, lui, aimait les poissons, et de toute façon, il n’avait encore jamais aimé personne. Ou… pas vraiment. Les flirts du lycée, comme on dit. Maintenant qu’il était adulte, les relations semblaient bien plus difficiles à établir, mais qu’importe. Six ans qu’il était ici, à Gold Coast, six ans dont il profitait pleinement de sa liberté. Lui qui avait vécu toute son enfance enfermé dans une grande maison, seul, ces six années lui paraissaient encore bien trop courtes pour rattraper les dix-huit perdues. Heureux, Arthur ne l’était pas vraiment, mais c’était tout de même une amélioration non négligeable dans sa vie. Bientôt, dans une dizaine d’années, il savait qu’il aurait à monter à la tête de la multinationale de son père –ce qui ne lui plaisait absolument pas. Avait-il le choix ? Non, sûrement pas. Et la liberté dans tout ça ? Foutaises, un mirage qui sert d’appât à la naïveté. La vie n’était faite que de deux forces : l’héritage naturel, et la volonté individuelle. C’était tout ce qu’on lui avait appris. Tant qu’à faire, il aurait aimé que son héritage ne soit pas celui d’un homme aigri par le pouvoir, avare, associable, j’en passe et des meilleures. Mais on ne choisit malheureusement pas sa famille. D’ailleurs, Arthur n’avait jamais connu sa famille. Oh, il avait cherché à découvrir ses véritables géniteurs, mais sans succès ; l’homme avait refusé tout indice, avait supprimé son passé à coups de billets verts. Comme toujours. Lorsqu’il sortit de chez lui, les rayons de l’astre du jour tapaient fort ; ici, c’était une habitude. Rien à voir avec Paris, sa première résidence. Là-bas, la pluie et la grisaille rendaient la vie morne les trois quarts de l’année. Un vrai paradoxe avec Gold Coast, personne n’irait vous dire le contraire. Arthur se posait la même question que tous les jours : comment occuper les 16-17 heures environ de sa journée ? (les autres étant destiner à dormir, accessoirement). Comme tous les jours, le jeune homme refusa que son chauffeur/majordome/garde lui prépare son petit-déjeuner, et demanda à ce qu’il lui apport plutôt le courrier. Inutile, c’était déjà fait, et il aurait dû s’en douter. Cet homme là prévoyait toujours tout à l’avance. Son nom était aussi original que son visage était doué d’expression : David Young. Vous aurez saisi l’ironie. Peut-être même qu’ils étaient déjà une centaine de milliers à porter ce nom là, mais les parents manquent parfois cruellement d’imagination. Quant à Arthur, c’était la seule chose dont il n’avait pas à se plaindre : son prénom était plutôt flatteur, et son nom de famille pas trop saugrenu. Bref, lorsque le courrier lui arriva en main, il jeta presque tout à la poubelle. « Des pubs, des pubs, et re des pubs » songea-t-il en soupirant. Pourtant, il remarqua celle de Sea World Resort, et sourit. Cela faisait un moment qu’il n’y avait pas mis les pieds. Il irait sans doute l’après-midi.
L’heure arrivée, Arthur était fin prêt. Un vieux tee-shirt, un jean délavé et une paire de lunettes de soleil sur les yeux. Il traversa le long hall de sa maison gigantesque, et se dirigea vers la voiture noire aux vitres teintées qui l’attendait. De l’extérieur, tout ce luxe pouvait sembler bien attirant, mais lui s’était rapidement lassé de tout cela. Il laissa Young lui ouvrir la porte arrière, et se vautra sur la longue banquette pour provoquer le vieil homme. Un sourire amusé étira ses lèvres. Young était décidément impassible, et si Arthur avait dû parier à chaque fois qu’il tentait de le dérider, il aurait été sur la paille aujourd’hui. La voiture roula jusqu’à l’océanarium à proximité de Gold Coast un bon moment, passant par des quartiers bien différents d’Oxenford. Arthur les observait d’un regard brillant ; tous ces lieux là, ils les avaient visités pour satisfaire sa soif de curiosité. Beaucoup auraient dit qu’il n’y avait rien à voir par là, mais lui qui n’avait jamais rien vu voulait tout contempler de ses propres yeux. Suivit de Young, il entra dans le parc à mammifères tout sourire. Il prit son temps pour visiter, car finalement, il n’était jamais pressé. Tout se déroulait normalement (de manière bien ennuyante, il devait bien se l’avouer), jusqu’à ce que cette jeune femme le heurte.« Je...he...je... » Il lui sourit, prêt à lui dire que ce n’était rien, mais n’en eut pas le temps. Elle passa simplement son chemin, ce qui lui fit froncer les sourcils. « Désolé. » Une excuse bien sèche pour la fautive qui marchait tête baissée, portable en main. De nature curieuse et abordante, il l’interpella tout de même « Hé, ya un problème ? ». Bizarrement, il avait l’impression de l’avoir déjà vue quelque part. Mais où ? Après tout, cela n’avait aucune importance. Il s’arrêta pour la suivre du regard, constatant qu’elle faisait la même chose de son côté. Devait-il l’aborder, comme il l’aurait fait pour sortir de son quotidien ? Même de loin, elle lui semblait bien tendue, aussi hésitait-il à engager la conversation avec une boutade. En attendant, il fit semblant d’observer les poissons, espiègle…
// hrp : la situation convenait bien à ton perso’, sorry //
Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Jeu 25 Aoû - 21:08
Quand on regardait Cayleihn, on y voyait une jeune femme magnifique et pleine de vie, forte et indépendante. Au premier abord elle semblait assez froide mais à la fois gentille et souriante toutefois sans grande disponibilité puisque le 3/4 de son temps elle le passait à travailler ou bien seule ou encore quelque rares fois avec sa meilleure amie Tanya seulement encore là elle avait beau adorer son amie comme si c'était un téléphone portable, elle lui cachait tout. Elle se cachait à tout le monde en réalité. Elle était d'un grand orgueil et d'une très grande fierté la petite, elle détestait toute ces personnes qui prennent pitié des autres car sa ne change rien. Elle préférait qu'on la remarque, certes, mais comme quelqu'un qu'on vénère et non comme celle qui a eu l'une des vie les plus difficile qui soit. Cay' aurait bien voulu changer sa vie avec qui que se soit malheureusement elle ne le pourrait sans doute jamais. Elle aurait tant voulu tout effacer ce qui c'était passer avant sa vie à Gold Coast. Enlever les marques du métro sur son corps, oublier sa mère qui c'était suicider devant elle, oublier qu'elle n'a jamais été assez bien pour qui que se soit, oublier que son petit-ami l'avait laisser lui faisant vivre ainsi le pire des enfers. Sa se fait ça ? Bien sur que non. Le mieux qu'elle pouvait faire était de cacher toute sa tristesse derrière un sourire magnifique et de beau talon aiguille. Elle mettait tout son coeur et son temps à travailler pour pouvoir réussir au moins une chose dans sa vie. C'était aussi un très bon moyen d'éloigner tout homme potentiel de sa vie parce qu'il lui semblait impossible d'arriver à refonder une histoire. Cayleihn avait complètement envie de gouter à nouveau à ce que l'on appelle l'amour seulement cela signifiait également qu'elle devrait tout dévoiler à cette personne et cela lui était complètement impossible. Elle se le refusait pour deux raison ; la première étant qu'elle détestait la pitié des autres et la deuxième étant qu'en parler nous fait revivre nos émotions et sa la détruirait que de devoir revivre cela.
Au moins pour la journée qui s'annonçait, ces affreux souvenir resterait souvenir car Cayleihn avait prévu de s'amuser et de cesser de penser à tout cela. Pour ça le meilleur endroit était le Sea World Resort. Tous ces animaux respirait la joie de vivre, toujours entrain de bouger dans tous les sens, tout sourire chaque fois que quelqu'un leur accordait un peu d'attention. Si nous étions tous des animaux la vie serait complètement merveilleuses. Mais oh cessons ce pessimisme car la vie EST merveilleuse, il faut simplement se donner l'opportunité de le voir. La jolie blonde était tout naturellement entrain d'écrire sur son black berry comme elle le faisait 80% de son temps, se gardant un petit 10$ pour dormir quand même. Tout se passait bien quand elle eu le malheur de foncer dans quelqu'un... Et pas n'importe qui ; Arthur X. Duhamel. Elle l'avait vu plusieurs fois et à chaque fois elle essayait de lui adresser la parole mais sans succès. Elle bloquait. Ajoutons à cela qu'il monopolisait ses pensées et c'est pour toute ces raisons qu'elle le haïssait parce que ce n'était pas le genre de femme à être intimider par un homme, et encore moins à penser à un homme. Tout ce que trouva à dire fut de balbutier une tentative d'excuse et un "désolé" bien sec. Ensuite Cayleihn s'empressa de s'éloigner mais elle fut surprise en l'entendant demander « Hé, ya un problème ? » Normalement sa aurait été le moment où elle lui aurait lancé une phrase glaciale mais avec lui il n'y avait rien qui sortait. Tout ce qu'elle arrivait à faire était de s'éloigner en l'observant comme une espèce de psychopathe. Il devait d'ailleurs la prendre pour quelque chose comme sa ! Finalement elle le rejoignit devant une aquarium, feignant le hasard, et prit sur elle pour dire quelque chose de censé. « Au fait, je m'appelle Cayleihn Eccleston. » lui dit-elle en tendant la main vers lui. Cette simple phrase lui avait pris beaucoup de courage, elle ne serait peut-être pas capable de continuer la conversation. Pour la peine elle faisait semblant que c'était la première fois qu'elle le voyait alors qu'en réalité elle se souvenait mieux que quiconque de se visage d'ange et ses cheveux blonds si magnifiques.
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Jeu 25 Aoû - 23:23
Arthur s’était toujours senti comme relié aux poissons de ce parc, comme si leurs vies avaient une chose évidente en commun mais que les autres ne pouvaient pas voir, pas savoir. Cette chose là, c’était l’enfermement. Ces pauvres animaux, bien que fondamentalement heureux de la vie qu’ils menaient, étaient isolés dès leurs naissance et isolés dans ces enclos remplis d’eau pour mener une vie de cage, alors qu’ils auraient en réalité pu profiter de l’océan. C’était comme de vivre dans un placard alors qu’on avait une villa à disposition. Ou encore qu’on vivait dans une villa alors qu’on avait une ville à explorer. Ca, c’était la vie d’Arthur. Sa vie d’avant. Aussi la première fois qu’il était venu, c’était avec nostalgie qu’il s’était assis pour les contempler. Il était resté des heures et des heures, leur parlant même parfois lorsqu’il était seul (on l’aurait sinon sûrement pris pour un fou). Après tout, ce n’était pas plus débile que de parler à un chien, qui comprenait tout autant qu’un poisson, de l’avis d’Arthur. Soupir. Cela remontait à Janvier 2007, quatre ans auparavant, mais il s’en souviendrait sûrement encore longtemps. De par cette analogie qu’il avait créée en rapport à sa propre existence, cet instant était gravé dans sa mémoire, comme un des passages les plus importants de sa vie. Ironiquement, avec le peu de choses qu’il avait vécues, jusqu’à maintenant, il se pouvait que ce moment en soit réellement un. En dehors des fugues, sa vie n’avait rien eu de passionnant. En quatre ans, le SeaWorld Resort n’avait pas beaucoup changé : toujours les mêmes attractions, toujours autant de touristes. Le genre de truc qui marche bien, surtout l’été. Arthur songea qu’il aurait bien aimé être un touriste, voyager avec ses parents, découvrir de nouveaux pays tout en ayant l’air ridicule et en prenant des photos des plus inutiles, mais non. Mr Duhamel était bien trop occupé pour cela, et puis le jeune homme avait passé l’âge pour partir en vacances avec lui. 24 ans, déjà. Le temps passe vite.
Mais revenons-en à la jeune femme. Elle était blonde, ça, c’était indéniable. Même un aveugle aurait pu le voir. Elle n’avait aucun trait particulier, aucune caractéristique remarquable, mais il se dégageait d’elle une impression de… perfection. Son attitude respirait l’ordre, la netteté. Pas un pli sur ses vêtements, pas une ride/bouton sur son visage. Arthur sourit ; il ne pouvait s’empêcher de la détailler sans gêne. Il avait toujours été ainsi. Il s’imaginait que si elle avait souri, ça aurait sans doute été un joli sourire, ou plutôt, un sourire parfait. Genre le sourire Colgate dans les pubs pour dentifrice. S’il n’avait pas eu peur de passer pour un débile, il aurait sans doute ri tout seul de son imagination débordante. Bref. Le fait est que cette impression de déjà la connaître lui restait à l’esprit, et ça le dérangeait. Se plongeant dans ses pensées pour essayer de retrouver mentalement son visage, il ne s’était pas aperçu qu’elle était revenue vers lui, quelques aquariums plus loin. « Au fait, je m'appelle Cayleihn Eccleston. » Elle lui tendait la main, visiblement un peu plus chaleureuse que tout à l’heure. Il lui refit son grand sourire béat, toujours aussi bon vivre et absolument pas rancunier. « Moi c’est Arthur, juste Arthur » lui répondit-il en riant. « Au fait, regarde devant toi quand tu marches, et lâche un peu ton portable, sinon tu risques de bousculer encore beaucoup de monde » Ce n’était qu’une boutade, sans méchanceté, et il rit encore, gaiement. C’était pas son genre d’être froid avec un ou une inconnue, et encore moins quand la fille était jolie. Et Cayleihn l’était. Pas forcément un sex symbol, mais on ne pouvait nier sa beauté. Il serra délicatement sa main, et fit une petite révérence amusante, pour la dérider, car décidément, elle semblait bien nerveuse ! Qui était-elle ? Sa curiosité la démangeait.
Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Sam 27 Aoû - 1:57
Le Sea World Resort était un merveilleux endroit, toujours rempli à craqué de gens lors de journée chaude comme celle-ci. Il n'avait spécialement été modifier depuis les dernières années seulement personne ne se souciait plus qu'il le fallait de ce détail puisqu'il proposait tout de même énormément d'activité tout aussi amusante les unes que les autres. Observations de divers animaux, manèges et attractions, possibilité de nage avec les animaux, vol en hélicoptère, pédalo ; franchement il y en avais absolument pour tous les âges et gouts. Depuis qu'elle était arrivé ici le premier jour, c'était probablement l'un des endroits préféré de Cayleihn en dehors des centre commerciaux. Elle ne pouvait expliquer précisément pourquoi, si ce n'est qu'elle adorait tout le calme qu'on pouvait y trouver. À New-York, les rues sont toujours remplies de bout à bout de gens qui court vers leur travail, café à la main ou de taxi bruyant circulant à tout heure de la nuit. Franchement le calme on pouvait bien s'en passer. Au Sea World Resort elle pouvait y trouver satisfaction, préférant y venir le soir puisque la majorité de la foule a quitté les lieux et donc il y a largement la possibilité de circuler tranquillement en profitant du paysage. Pratiquement à partir du premier jour où elle était venu sur cette terre, Cayleihn passait 90& de son temps à essayer... Essayer d'être juste assez bien pour les autres. De l'extérieur, elle était absolument parfaite avec sa chevelure blonde flamboyante, sa taille de mannequin vêtue de vêtements provenant des plus grands créateurs des 4 coins du monde, son visage reflétant la pureté qui ne laissait apparaitre aucunes imperfections. Pourtant à l'intérieur elle n'avait jamais l'impression d'être assez bien pour qui que se soit. Sa mère lui avait répéter tout le temps qu'elle avait été envie que jamais personne ne voudrait d'elle car elle était loin d'être assez bien, elle n'avait jamais eu vraiment d'ami(e)s sincères depuis sa naissance, son petit-ami qui était la seule personne à tenir à elle l'a laissé tomber. Aujourd'hui elle n'avait aucun homme dans sa vie pour l'aider dans sa quête de la perfection, elle n'avait qu'un travail de fou qui lui demandait de toujours en faire plus. Si seulement il y avait cette personne qui savait l'aider à garder cette forte estime d'elle-même... mais pour le moment c'était plutôt impossible.
En tout cas il est un peu temps de sortir de nos pensées et de retrouver le présent qui était entrain de se passé pour de vrai. Se présent racontait que la belle jeune Cayleihn venait se bousculer un beau blond du nom d'Arthur en répondant à sa patronne via son blackberry. Un beau blond en effet, mais pas n'importe quel. Elle avait croisé Arthur plusieurs fois, tentant de l'aborder, et chaque fois elle bloquait comme si elle était devant le Dalaï Lama ou je ne sais quelle personnalité ultra connu. pourtant ce n'était qu'un garçon qu'elle ne connaissait même pas alors elle ne comprenait pas... Elle avait toujours eu se don de parler de n'importe quoi avec n'importe qui. Mais pas lui. Et le pire dans tout ça c'est qu'il était aussi l'une des rares personnes qui ne semblait même pas la remarquer ou porter attention à sa personne. Tout un nouveau ! En tout cas, elle avait encore une fois été stupide et lui avait lancé un désolé tout sec. Finalement Cay' avait repris un peu sur elle et l'avait rejoint un peu plus loin, mine de rien, décidant de se présenter. « Moi c’est Arthur, juste Arthur » Quel joli prénom ! En plus de cela il lui fit gracieuseté d'un beau grand sourire comme s'il ne c'était rien passé précédemment. Elle ne pu s'empêcher de faire de même car il serait très impoli de ne pas répondre, et en plus parce qu'elle avait très envie de lui sourire pour engager une vrai conversation et non pas juste le faire dans ses pensées les plus folles xD. « Au fait, regarde devant toi quand tu marches, et lâche un peu ton portable, sinon tu risques de bousculer encore beaucoup de monde » Mademoiselle Eccleston laissa échapper de sa bouche un joli rire. Ils se seraient connu environ 3 ans plus tôt, elle lui aurait fait ravaler ses paroles avec une réplique bien froide et crue puisqu'elle ne prenait aucune remarque à la plaisanterie mais son changement l'avait beaucoup améliorée sur plusieurs points dont celui-là. Donc au lieu de lui dire "non mais hé, tu n'avais qu'à regarder devant toi. Je suis pas la seule à avoir des yeux", ce qu'elle aurait fort probablement dit, elle lui dit tout simplement ; « C'est une idée, en effet.» Au mon dieu la petite sentait qu'elle commençait enfin à retrouver son assurance naturelle qu'elle avait acquise à sa naissance mais dont elle ne savait faire utilisation avec Arthur. Cayleihn aurait très bien pu terminé la conversation là dessus et continué à se promener en solitaire seulement elle avait tellement imaginé passé du temps avec lui qu'elle serait bête de ne pas profité de cette occasion. « Dit moi donc, juste Arthur, que dirais-tu de continuer ta visite accompagnée d'une jolie fille avec qui tu pourrais faire connaissance ?» Elle espérait très fort dans son intérieur qu'il accepte sa proposition sinon elle aurait l'air d'une belle dinde. Bah oui quoi, elle avait proposé à un garçon super sexy à qui elle a du mal à parler depuis des mois de faire connaissance et il ne serait pas intéressait, du coup elle continuerait sa balade seule et embarrassée. C'est pas sa la description d'une dinde ?
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Sam 27 Aoû - 21:47
L’attraction touristique battait son plein, et aussi les deux jeunes gens étaient perdus au milieu de la foule polyphone (les gens venaient des quatre coins du monde ici), sûrement parmi les seuls australiens d’ailleurs. Même si le parc aquatique offrait de nombreuses attractions à faire en compagnie des animaux –pour une visite plus agréable, plus aventurière du parc, Arthur s’était toujours volontiers contenté des aquariums. D’après lui, le reste ne servait qu’à égayer les étrangers, donner une allure plus intéressante au parc qui finalement n’était constitué que d’enclos regroupant toutes les sortes exotiques d’animaux qui peuplaient les côtes de Gold Coast. Ainsi se contentait-il d’observer les poissons, pensif… Mais aujourd’hui, sa visite semblait prendre une toute autre tournure. Arthur était un habitué des relations humaines ; il souriait, parlait, riait avec tout le monde, engageait la conversation avec son prochain même s’il n’y avait aucune raison de l’engager, n’était aucunement intimidé par les jolies femmes, c’était même plutôt l’inverse. Aussi, alors qu’il avait justement une raison d’engager une conversation avec quelqu’un, il ne s’était pas gêné. Le coup de la bousculade, c’est un grand classique dans la société ; mais généralement, tout le monde savait comment ça finissait… Arthur rit à ces pensées romantiques, lui qui n’aimait pas prédéfinir ce qu’il lui arriverait. Il préférait se laisser guider par son naturel plutôt que de se mettre des idées toutes faites dans l’esprit. Art’ détaillait Cayleihn de manière plus précise en gardant son sourire charmeur pendu à ses lèvres, constatant que ses cheveux cascadaient sur ses épaules, coiffés (à la perfection, vous vous en douterez). C’était en soi assez étrange de rencontrer quelqu’un qui n’avait aucun défaut physique clairement prononcé, rien, et Arthur ne pensait pas avoir déjà croisé le chemin d’une telle personne… sinon elle-même, mais il ne se souvenait vraiment plus où.
Comme d’habitude, il avait joué au clown blagueur ; c’était son style détendu, et il lui allait à merveille. Pourquoi en aurait-il été autrement d’ailleurs ? Arthur était toujours fidèle à lui-même. Au propos qu’il lui tint, la jeune femme lui retourna un superbe sourire (comme celui qu’il s’était imaginé) et rit avec lui à sa boutade. Elle semblait déjà un peu plus décontractée qu’auparavant, ce qui ravissait Arthur. Il était des gens qui prenaient du plaisir à mettre les autres à l’aise. On ne pouvait pas vivre dans un monde de coincés ! En tout cas, elle ne l’était pas. Juste un peu… comment dire… nerveuse. « C'est une idée, en effet.» Son sens de la répartie lui plaisait déjà, et il sourit de plus belle. D’autres auraient simplement dit « d’accord », mais elle non. Certaines personnes étaient si ennuyantes, parfois ! Il plongea son regard dans le sien, attendant la suite (car il n’en doutait pas, il y aurait forcément une suite). « Dit moi donc, juste Arthur, que dirais-tu de continuer ta visite accompagnée d'une jolie fille avec qui tu pourrais faire connaissance ?» Ohoh, ainsi donc lui proposait-elle de continuer le parcours du musée en sa compagnie, et avec de l’humour en plus. Pourquoi aurait-il seulement refusé ? Tout personne qui le connaissait un tant soit peu savait qu’il accepterait d’emblée… « C’est d’accord ! Jolie fille ? Tu es encore modeste ! » dit-il en lui décochant un clin d’œil rieur. Il blaguait, à moitié. La clé, avec les femmes, c’était toujours de les complimenter. Il avait appris ça au fil des ans, comme n’importe quel homme. Il la suivit donc vers le prochain aquarium, tout guilleret de s’amuser un peu durant sa journée. « Alors, Cayleihn, tu fais quoi de ta vie ? Tu es professionnelle dans l’envoi de textos ?! » Il blaguait encore, bien sûr, espérant qu’elle n’était pas susceptible.
Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Dim 28 Aoû - 7:16
Ah les hommes... ils avaient toujours bien attirés l'attention de Cayleihn. Enfin pour dire vrai elle avait toujours préféré d'avantage leur présence à celle des femmes parce qu'ils sont beaucoup plus facile à vivre. Ils adorent généralement rigoler, ils sont sociable et pas du tout compliqué niveau sujet de conversation comparativement aux femmes. Autre point extrêmement important : il y en a qui sont très sexy ! Cela, elle ne l'avait pas spéciallement remarquer pendant les 20 premières années de sa vie car les 6 première elle ne s'attachait pas beaucoup à ce détail d'apparence des garçons puisque c'est l'âge où on veut tous les tuer. Puis à partir de ses 7 ans aller jusqu'à ses 20, il n'y avait qu'un seul et unique homme. Aujourd'hui elle le regrettait pas mal, elle aurait aimer avoir des aventures avec plusieurs hommes, plus d'une déception pour être capable de déterminé avec quel type de garçon elle voudrait sortir et peut-être même avoir fait quelques coups d'un soir. Mais voilà, à 22 ans maintenant il n'était plus question de follerie... Il ne lui restait plus qu'à tenter de trouver l'amour auprès de quelqu'un qui voudra simplement bien d'elle. Du coup Cay' faisait connaissance avec plusieurs personnes, tentant de trouver quelqu'un avec qui sa collerait bien et avec qui, peut-être elle pourrait construire une histoire. Seulement tout ça était sans suite jusqu'à ce qu'elle face une collision avec cet homme... N'exagérons quand même pas, elle n'était pas instantanément tomber amoureuse car cela n'arrivait que dans les films, mais il l'intriguait toutefois et elle voulait faire sa connaissance. Pour dire toute la vérité, cela faisait un bon moment qu'elle l'avait croisé et qu'elle tentait de faire sa connaissance seulement c'était un peu comme si son cerveau n'assimilait pas cette idée. À toutes les fois où elle avait essayer, sa bouche ne sortait qu'un silence complètement stupide et humiliant. Ce n'était pourtant aucunement dans ses habitudes parce que Cayleihn était une femme très sociable, capable de parler à qui que se soit, personne ne l'intimidait dans sa vie c'était plutôt elle qui les intimidait tous. Mais bon il faut une première fois à tout... Ce qui l'énervait d'avantage était qu'il occupait chaque simple parselle libre de pensée qu'elle avait depuis qu'ils c'étaitn croisés sans se voir dans une rue. Heureusement elle recommencait tranquillement à retrouver son aisance naturelle suite à leur collision et à leur présentation. Elle avait même réussi à lui offrir l'un de ses merveilleux sourire charmeur et à lui sortir quelques petites répliques bien faites et à la fois tout aussi amusante. Encore mieux, elle avait trouver assez d'aisance pour lui proposé de continuer la visite avec elle. Ce serait un excellent moyen de finalement faire connaissance avec lui et peut-être même de lui montrer sa vrai personnalité au lieu de la femme nerveuse qu'elle n'était pas. Cayleihn avait toutefois cette petite peur qu'il refuse sa proposition et qu'il reparte en se moquant bien d'elle intérieurement. « C’est d’accord ! Jolie fille ? Tu es encore modeste ! » Oh génial ! Il avait non seulement accepter de passer du temps avec elle mais en plus il lui disait qu'elle était joli ; que de points positifs à leur rencontre. Elle lui offrit un petit sourire un peu gêné car elle n'était pas tellement habituée de se faire dire qu'elle était jolie et ne se priva pas de la liberté de lui rendre son compliment. « Il le faut bien pour arriver à ta hauteur ! » La blonde accompagna ses paroles d'un clin d'oeil plutôt discret mais qu'il sut remarquer sans aucunes difficultés. Elle aimait bien complimenter les autres elle aussi, mais elle le faisait de manière un peu humoristique sans toutefois en perdre une seule goutte de franchise. Autrement sa ne s'ajustait pas très bien à sa personnalité de lançer des compliments simplement comme ça. Ils avançaient donc tranquillement devant les aquariums, chacun dégageant un air satisfait de s'être trouver un peu de compagnie. « Alors, Cayleihn, tu fais quoi de ta vie ? Tu es professionnelle dans l’envoi de textos ?! » Encore une fois, elle rigola à sa remarque. Il lui plaisait bien ce petit Arthur, il avait le don d'être marrant. Autrefois elle aurait détester ce genre de personne et aurait tout de suite été d'une froideur extrême mais voilà elle avait bien appris la plaisanterie et à ne pas être suseptible à chaque chose que les autres vous disent. « Franchement, c'est presque sa. Je suis agente d'artiste donc si tu as besoin pour ta carrière de mannequin n'hésite pas à m'appeler ! » C'était également une blague mais qui sous-entendait le retournement à sa question, soit de savoir ce que lui faisait de sa vie. Elle souhaitait maintenant qu'il le comprenne...
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Dim 28 Aoû - 16:49
Le plus dur, quand on menait la vie que menait Arthur, c’était d’affronter l’ennui en permanence. Pas de travail, pas de réelle occupation, une maison immense, de l’argent à foison, mais rien de quoi le dépenser. Chaque jour était un nouveau défi que le jeune homme devait relever pour ne pas sombrer dans l’inactivité, se forcer à se bouger pour ne pas finir comme son père. Depuis le temps qu’il menait sa vie, il avait déjà tout testé, et les solutions qui s’offraient à lui pour se divertir étaient de plus en plus limitées. Aussi, quand on lui proposait quelque chose de nouveau, qu’il aime ou qu’il n’aime pas, il ne disait jamais non. Tout était bon quand il s’agissait de le tirer du quotidien, et Cayleihn venait gentiment de le faire, sans même le savoir. Aussi la gratifia-t-il de son sourire le plus beau –même si de toute façon, il souriait tout le temps. Certains disaient que son sourire n’était que mensonge, qu’il cachait une vie terrible, que ce n’était qu’un masque. Le fait est que ceux qui disaient cela n’avaient pas tout à fait tort, mais Arthur ne mentait pas lorsqu’il souriait. Sachant qu’il ne lui restait tout au plus qu’une dizaine d’années libres, il faisait du mieux qu’il pouvait pour s’amuser, être joyeux, et profiter de la vie. Cela en énervait certains ; sûrement ceux qui avaient une vie triste et qui n’arrivaient pas à s’en sortir, qui déprimaient les trois quarts du temps au lieu de voir la vie du bon côté comme lui ; les jaloux de son côté jovial, en perspective. Mais pouvait-il le leurs reprocher ? Car au fond, sa vie n’était pas si terrible que ça : il était riche, plutôt mignon, pas trop bête, et pourrait toujours s’en sortir un minimum. Beaucoup auraient-aimés être à sa place, mais lui, non. Se laisser guider par la volonté d’une tierce personne ? Non merci, très peu pour lui.
S’amuser. C’était le mot d’ordre dans sa façon de vivre au jour le jour. Et à ce moment même, il s’amusait déjà plutôt pas mal en présence de cette jolie blonde, Cayleihn. Dans la société, il existait des codes universels en lesquels chacun pouvait définir une seule et unique chose de par ces idées qu’on nous impose dès le plus jeune âge ; ainsi, toucher quelqu’un signifiait qu’on se trouvait proche de lui, et lui prendre la main qu’on éprouvait de l’affection pour. Débile, pensait Arthur, car s’il n’en avait tenu qu’à lui, il aurait certainement pris la main de tout le monde. Il disait à quiconque voulait l’entendre que les contacts humains étaient tellement réconfortants qu’on serait bête de s’en priver à cause des préjugés. Ceci dit, il savait que tout le monde n’avait pas cette façon de voir, aussi se gardait-il bien d’enlacer Cayleihn, ou je ne sais quoi encore (bien que ça n’aurait peut-être pas déplu à cette dernière). Cela faisait peut-être déjà bien deux ou trois ans qu’Arthur n’avait plus eu de réelle petite amie. Oh, il y avait eu quelques coups d’un soir, histoire de s’amuser (encore une fois), mais jamais rien de sérieux. Cela ne le dérangeait pas, car au fond, est-ce que cela importait vraiment ? Le fait est qu’il n’avait jamais aimé et qu’il ne pouvait donc savoir ce que l’on ressentait lorsqu’on était amoureux. Sinon, il aurait su que ça avait de l’importance, beaucoup d’importance… Certains disaient : la vie sans amour, c’est comme un sandwich sans pain…
« Il le faut bien pour arriver à ta hauteur ! » Elle lui avait retourné son compliment, et son clin d’œil aussi de manière plus… discrète ? Féminine ? C’était un peu des deux. Ils poursuivirent leur chemin, alors qu’Arthur l’interrogeait sur son métier en blaguant. La réponse ne le déçut pas : « Franchement, c'est presque sa. Je suis agente d'artiste donc si tu as besoin pour ta carrière de mannequin n'hésite pas à m'appeler ! » Il sourit en perdant son regard à l’horizon, profitant des rayons de soleil. Ainsi donc, agente d’artiste… Arthur se crispa, comprenant sa stupidité. Qu’allait-il bien pouvoir lui répondre ? (car nul doute qu’elle attendait de savoir ce qu’il faisait lui dans la vie). Elle serait sûrement déçue, car il se sentit obligé d’évincer le sujet. Il ne pouvait pas lui dire qu’il ne faisait rien, que bientôt il serait projeté à la tête de la société de son père. Non. Soupir. Il réprima une grimace et lui sourit plutôt. Il lui restait toujours la carte « humour » qu’il maitrisait si bien. C’est ce qu’il choisit d’ailleurs, plutôt de se taire. « Moi ? Ben j’suis pro dans la recherche active de jolies blondes ! Et même que je vais sûrement avoir une prime pour t’avoir dénichée aujourd’hui ! » Il rit, puis enchaîna directement, pour passer. « Tu viens souvent ici ? »
Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Dim 28 Aoû - 17:43
Cayleihn avait absolument tout ce qu'il y avait de mieux pour elle, selon les critères de bonheur de la plupart des gens. Elle était tout d'abord physiquement parfaite, absolument rien se trouvant sur son corps ne présentait d'imperfections on aurait dit une petite poupée Barbie toute bien construite de plastique. Elle était également très riche, du à la chaine d'hôtel que possédait son père. D'ailleurs parlant de son père il lui donnait tout l'amour dont un enfant avait besoin car il la chérissait comme on pouvait chérir un lingo d'or. Elle était son lingo d'or à lui. Côté professionnel il n'y avait absolument rien non plus pour se plaindre car en tant qu'agente artistique, elle avait non seulement un salaire plus que raisonnable mais en plus elle avait la possibilité de faire pleins de se faire tout pleins de connaissance toute aussi haute dans la société les unes que les autres. Sincèrement beaucoup était jaloux d'elle mais quand on apprenait à la connaitre un peu plus loin que juste les apparences on comprenait qu'il n'y avait pas de quoi vénérer sa vie. Oui d'accord tous ses aspects étaient véridict mais socialement parlant il n'y avait rien pour se réjouir. Avant de mettre les pieds dans la ville de Gold Coast, le mot amitié n'avait aucune synification pour Cayleihn. Jamais elle n'avait eu ce que l'on appelle de vrais amis. Elle en avait, mais pour sa popularité et non pas pour qui elle était vraiment. À l'époque sa lui plaisait bien car elle ne voulait être vu qu'en compagnie des gens les plus riches et célèbres. Aujourd'hui elle se trouve stupide d'avoir été ainsi. Il est vrai qu'elle ne possède pas encore une armée gargantuesque d'ami(e)s mais le peu qu'elle a réussi à se faire, elle y tient sincèrement. Ils l'aident à continuer de devenir toujours meilleure, à ne pas replonger dans la tristesse et l'enfer qu'elle a vécu. Et être en compagnie d'Arthur en cette journée n'était que bénéfique pour elle. Il était d'une simplicité incroyable, facile à vivre, il semblait avoir presque toujours un magnifique sourire accroché à son visage et c'était réconfortant pour la petite blonde qui n'avait simplement besoin que de ce genre de personne pour refaire sa vie comme il faut.
Avoir été différente de celle qu'elle était, juste un petit plus contrôlée par les désirs sexuels, elle aurait sans doute tenter de charmer et séduire ce beau jeune homme qui se trouvait face à elle pour coucher avec lui. Ce n'était pas l'envie qui manquait parce que franchement sur la liste des beaux garçons qu'elle avait vu dans sa vie il passait bien en haut, même avant son ex. Seulement Cay' n'était pas se genre de fille, s'il y avait à se passer quoi que se soit se ne serait pas préméditer, elle était juste elle-même et tentait de se faire apprécier à sa juste valeur intérieure et non pas juste pour son beau corps de jeune fille. Elle n'était pas facile au niveau des contacts entre personne, ayant été élever dans la plus haute classe de la société on lui avait toujours éduquée qu'il ne fallait se frotter à un homme que si on était attirée par celui-çi. Du coup elle ne s'était franchement pas collée beaucoup au garçon et connaitre ce qu'était le véritable amour lui donnait envie parce que le seul amour qu'elle avait eu dans sa vie était de ses 7 à 20 ans mais son petit-ami était avec elle pour l'apparence, pas par amour. Sa lui suffisait avant mais plus aujourd'hui. Elle voulait trouver ce dont elle se souvenait de ses parents dans son enfance, la passion dévorant leurs yeux, les mots doux, les baisers tendres. Miss Eccleston n'avait jamais eu sa et pourtant elle avait bel et bien 22 ans.
En tout cas pour l'instant ce n'était pas trop le temps de penser à ce genre de chose, il était plutôt temps de profiter de la vie en bonne compagnie avec Arthur. Elle était sincèrement très heureuse d'être tombée sur lui ( et le mot est ici très bien employée xD ) en cette journée car grâçe à cela elle serait meilleure, plus joyeuse. Oui car joyeux ça il l'était, et sa lui plaisait, elle pouvait rire et s'amuser tout en ayant une véritable conversation. Ils en étaient maintenant à se taquiner sur ce qu'il faisait comme travail dans leur vie tout en étant plutôt franc. Mais Cayleihn avait remarquer la petite hésitation d'Arthur face à ses propos, comme s'il avait un peu honte ou quoi que se soit.Pourtant il ne devait pas, elle était loin de juger les autres et particulièrement sur leur travail. « Moi ? Ben j’suis pro dans la recherche active de jolies blondes ! Et même que je vais sûrement avoir une prime pour t’avoir dénichée aujourd’hui ! » Encore une fois, elle rigola à sa remaruqe. On pourrait presque écrire cette date sur le calendrier car il était très rare de la voir rire autant en si peu de temps ! Généralement elle était plus sérieuse, assez terre à terre, mais aujourd'hui elle avait envie de laisser le plaisir aller. « Oh et bien heureuse d'avoir pu t'aider dans ce cas.» Ouf un sens de la répartie qui lui était inconnu jusqu'à maintenant seulement il fallait bien avouer qu'il existait vraiment. Puis il enchaine sur une question un peu plus sérieuse qui laissait place à un peu moins de taquinerie. « Tu viens souvent ici ? » Que répondre ? Le long monologue sur l'effet que cette endroit lui procure ou alors la réponse courte et simple "oui" ? Un mix des deux voilà le mieux. « Quand même assez, oui. J'aime bien venir ici, on y est bien, c'est beaucoup plus calme et détendu qu'à New-York et j'aime beaucoup ça.»
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Dim 28 Aoû - 20:44
Il est de ces jours où tout tourne rond, où lorsque le soleil rayonne pour faire briller votre peau à la lueur du jour, vous souriez, heureux, où le moindre bruit peut-être susceptible à un souvenir joyeux du passé, où la moindre blague niaise peut vous faire éclater de rire, où votre cœur se sent léger, libéré de toutes ses peines. Dans ces jours là, le monde peut paraître beaucoup plus parfait qu’il ne l’est réellement ; dans ces jours là, peu importe réellement, la seule chose qui compte est de profiter un maximum du temps qui nous est imparti, car il se peut que le lendemain même ce sourire béat disparaisse, et que la grisaille vienne de nouveau habiter votre âme. Toutes les conditions pour qu’aujourd’hui soit un de ces jours là étaient réunies, et Arthur se sentait guilleret. Le fait est qu’à ce moment même, il avait effacé tout ce qui l’entourait, les gens, les bruits pour enfermer Cayleihn et lui dans une bulle invisible, mentalement, se sentant moins oppressé par la foule qui les serrait en réalité et isolant cet instant si simple mais exaltant qu’il vivait. Il parlait juste à une inconnue, dans un parc naturel sous la chaleur habituelle de l’astre du jour, et se sentait si libre ! Ce genre de choses n’aurait jamais pu lui arriver six ans auparavant, sauf s’il avait réussi à fuguer sans se faire rattraper par Mr Young. Ce qui n’était jamais arrivé. Arthur sourit en songeant à toutes les fois où il s’était évadé dans Paris, à toutes les astuces qu’il avait inventées pour détourner quelques secondes l’attention de son majordome. Parfois, ça avait plus un jeu qu’autre chose ; sa manière à lui de faire passer le temps. Bien sûr, cela n’avait amusé que lui ; son père riait rarement lorsqu’il apprenait qu’il avait fugué, ou plutôt, son père riait rarement tout court. Songeur, le jeune homme se demanda s’il avait jamais vu l’homme quinquagénaire rire…
Enfermé dans ce petit bout de Paradis, Arthur ne remarquait même plus que le SeaWorld Resort était plein à craquer. Il était tout simplement focalisé sur sa nouvelle rencontre du jour, puisque de toute façon il connaissait déjà tout les poissons par cœur (enfin… poissons… pour généraliser !). D’une manière générale, cette femme était intéressante, éveillait la curiosité d’Arthur. N’avait-elle donc aucun défaut ? Car pour l’instant, elle avait un physique d’or, un humour plutôt bon, un sourire à en faire tomber 40 d’un coup, et un métier très rentable. Intriguant… Arthur avait tout ça, lui aussi, mis à part le métier, seulement il était beaucoup trop secret, et ce côté-là de sa personnalité l’emmenait souvent dans des conflits avec ses proches qui ne supportaient plus qu’il passe sous silence certains sujets. Comme il ne voulait pas lui avouer qui il était vraiment, il se sentit obligé de blaguer, pour ne pas simplement changer de sujet (c’aurait été impoli !), et elle sembla le prendre plutôt bien. Il eut beau chercher, il ne vit pas de signe de mécontentement de sa part, de déception, et il en fut soulagé. Pour le surprendre, elle renchaîna de manière désinvolte. « Oh et bien heureuse d'avoir pu t'aider dans ce cas.» Arthur sourit, satisfait de ne pas l’avoir importunée. Car sinon, il aurait pu voir cette balade avec la jolie blonde s’écourter, et finir avant même qu’elle n’ait commencée. Après tout, quel plaisir y avait-il à discuter avec un inconnu qui ne voulait rien dire de lui ? On disait que les femmes aiment les hommes mystérieux, mais le jeune homme n’en était pas si sûr. La prochaine question était tout à fait banale, et c’était voulu : au moins, celle-ci, si elle lui retournait, il pourrait y répondre ! « Quand même assez, oui. J'aime bien venir ici, on y est bien, c'est beaucoup plus calme et détendu qu'à New-York et j'aime beaucoup ça.»New-York… Ce nom laissait le beau blond rêveur. Il sourit au ciel, s’imaginant la ville selon sa fantaisie, même si cela n’était pas là le but premier de sa question. « Oh, je vois… J’aimerais bien aller à New York, un jour ! Pour un touriste, ça doit être fascinant ! » Arthur rit. Il comprenait aisément que pour un habitant, voir toutes ces tours au quotidien devait vite lasser, mais lorsqu’on y mettait les pieds pour la première fois, c’était comme un rêve. Tout le monde était d’accord là-dessus, ou presque. « Tu as vécu longtemps là-bas ? » Elle ne lui avait pas dit, mais sa phrase n’impliquait rien d’autre. Il aurait pu lui dire que lui venait souvent ici, qu’il adorait regarder longtemps un seul et unique aquarium pour tenir compagnie aux animaux, songer à son passé, mais tout ça il ne pouvait lui dire non plus. Enchaîner sur une autre question, c’était le mieux à faire, et cela assouvissait par la même occasion sa curiosité naturelle.
Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Dim 28 Aoû - 23:47
On dit souvent de l'inconnu que sa a un côté plutôt excitant, attirant, mystérieux et tout cela était bien vrai. Cayleihn adorait tout ce qui était inconnu, ne pas savoir ce qui l'attendait d'ici quelques heures ou quelques années sa l'excitait. Elle avait autrefois tenter de tout contrôler, de connaitre son futur au moindre détail près et regarder où tout cela l'avait amener aujourd'hui. Sa nouvelle devise était donc simple ; vénérons l'inconnu. L'inconnu est rassurant car il nous permet de profiter de chaque moment sans se soucier de tous les autres évènements qui allait découler par la suite. D'ailleurs présentement elle pouvait avouer qu'elle avait vraiment un sentiment de satisfaction à savourer le bonheur avec un inconnu. Avec Arthur elle se sentait réellement vivante, heureuse et sereine comme si pour la première fois ou presque elle pouvait être réellement elle même sans devoir rendre des comptes à tout le monde. Ils étaient ensemble comme dans un autre espace temps, où toute la foule qui les bousculait depuis le tout début c'était tout à coup complètement volatilisée pour ne les laisser que tout les deux dans la forte chimie qui c'était installée dans leur "relation" en seulement quelques phrases. Et oui, ils ne se parlaient que depuis quelques minutes à peine mais déjà on voyait qu'ils arrivaient à se connecter l'un à l'autre, à parler franchement tout en gardant un coté humoristique à tout ça. Cay' utilisait très rarement son côté amusante dans la vie, car la chose qu'elle faisait environ 90% de son temps était de travailler et au travail la seule marque d'amusement qu'il était possible de faire était un sourire à tous les clients, dépassé ça c'était la porte.
La jolie petite blonde de 22 ans pouvait maintenant affirmer avec certitude que les 5$ qu'elle avait payée pour son entrée au Sea World Resort était les 5$ les mieux dépenser de toute sa vie, autre les centaines de dollars dépenser dans des chaussures, et encore sa dépassait cela. Elle ne c'était jamais sentie aussi heureuse depuis son enfance ou encore le jour où sa thérapie de remise sur pied c'était terminé. Déjà qu'elle aimait beaucoup faire de nouvelles rencontres, celle qu'elle avait faite en cette merveilleuse journée ensoleillée était plus qu'extraordinaire. Ce Arthur le fascinait beaucoup avec ses traits physiques tellement parfois, et d'un autre côté il l'intriguait car il ne semblait dévoilé que très peu de chose à propos de lui. Pour dire vrai il lui ressemblait ; à la fois sexy, très sociable mais tout en restant très discret sur tout ce qui le touchait personnellement.Il lui demanda donc si elle venait souvent ici. Cayleihn hésita à lui faire le long monologue ennuyeux sur les effet de cet endroit sur elle ou alors lui faire une réponse banale comme un "oui" sans rajouter de détail. Finalement elle se décida à mélanger un peu les deux, rester brève tout en élaborant un petit peu sa réponse seulement elle omit de lui retourner la question, du coup leur conversation changea encore une fois de sujet. « Oh, je vois… J’aimerais bien aller à New York, un jour ! Pour un touriste, ça doit être fascinant ! » Oui là dessus il avait sans doute raison, pour un touriste la ville de New York devait être comme dans un rêve. Même pour elle qui y avait toujours vécu sa restait quand même l'une des plus belle ville du monde, le seule problème étant qu'il était presque impossible de trouver un peu de calme et des personnes qui tiennent réellement à vous. En tout cas pour elle, ce n'est pas arrivé. « Ouais, sans doute que pour un touriste sa doit être pas loin du paradis. J'adore New-York vraiment, mais je me plais un peu plus ici car les gens y sont plus... sympathique disons. En tout cas si t'as envie d'y faire un tour de ses 4, n'hésite pas à m'appeler je peux t'avoir de très bonne place en première classe tout à fait gratuitement et même une chambre de rêves dans un hôtel 5 étoiles.» Bah quoi, elle ignorait qu'en fait le beau Arthur avait de l'argent pleins les poches et que s'il y allait se serait sans doute en jet privé. Il ne c'était quand même pas vanté de l'ampleur de sa carte bancaire et c'était tout à fait normal... « Tu as vécu longtemps là-bas ? » Ça l'amusait de se faire poser toutes sortes de question sur elle. Sa leur faisait faire connaissance et de toute façon ce n'était pas le genre de détail qu'elle voulait cacher aux autres. Ce qu'elle voulait cacher était bien plus personnel que ses 21 ans passés à New-York. « Voyons voir... j'ai 22 ans, sa fait 1 an que je suis ici... je dirais donc que j'y est vécu environ 21 ans.» Le environ de sa phrase était important car elle avait passé toute une année entière dans un centre de thérapie qu'elle n'incluait pas spécialement dans le temps où elle avait "vécu" dans la ville de la grosse pomme. Puis Cayleihn continua à laisser place à sa curiosité cette fois sans réfléchir avant de parler et elle aurait peut-être du... « Parle moi donc de toi Arthur. D'où vient tu ; que fais-tu ici ; as-tu une petite-amie ? » Aussitôt un malaise se fit sentir du côté du beau blond ce qui mit un petit froid à la conversation... Elle se sentit alors très gênée de ce qu'elle venait de dire même qu'elle rougit pour l'une des très rares fois de sa vie. « Laisse tomber ce que je viens de dire c'est pas mes affaires. On ne se connait même pas après tout... » Cay' avança donc de quelques pas vers l'avant, la tête baisser, sans remarquer que lui n'avait pas bouger d'un poil et il était toujours derrière. En réalité elle se sentait trop mal de ce qu'elle venait de demander pour se retourner...
It's Arthur X. Duhamel
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Lun 29 Aoû - 13:04
A part déménager de Paris à Gold Coast, Arthur n’avait jamais voyagé, du tout. Le comble, quand on a un père adoptif qui visite le monde entier pour affaires, il en était conscient. Lorsque son père parcourait les riches villes aux Etats-Unis, Arthur restait enfermé à Paris, lorsque son père naviguait sur le Nil, Arthur restait enfermé à Paris, et lorsque son père déjeunait sur une terrasse à Venise, Arthur restait enfermé à Paris. Rageant. Même maintenant, alors que sa liberté voyait le jour, Arthur n’avait pas le droit d’aller beaucoup plus loin que Gold Coast. Sa zone d’exploration se limitait ici, et au delà, Mr Young avait reçu des directives pour l’empêcher formellement d’aller plus loin. Son père ne faisait confiance à personne, et moins encore à son fils aventurier, aussi restait-il enfermé dans cette ville, sous le soleil australien 365 jours par an, alors qu’il aurait tant aimé découvrir le monde. Ne serait-ce que visiter le reste du pays, cela l’aurait tant comblé ! Mais Duhamel senior ne comprenait pas cela, et ne voulait rien entendre. Arthur devait rester en sécurité, pour être l’héritier de son empire économique. Quel tissu de conneries ! Le blondinet avait déjà tenté maintes fois de soudoyer son majordome pour qu’il le laisse s’aventurer dans le décor tropical de l’Australie, de lui donner un pot de vin, de se jeter à ses pieds pour le supplier des heures durant, mais rien n’y faisait, l’homme était impassible. Ou sans cœur. Comme son père. On trouvait bien une raison à tout, finalement. Bref, New-York laissa Arthur songeur, car il aurait bien aimé flâner dans Broadway avec un café Starbucks à la main, aller voir ground zero pour se remémorer le 11 Septembre 2001, visiter la Statue de la Liberté, et se perdre dans le flashback d’une série policière, imaginer des courses poursuites romancées dans ces longues rues alignées, à Manhattan. Et il y avait tant d’autres choses à voir encore ! En clair, il aurait fait ce qu’aurait fait n’importe quel touriste ; dire qu’il était aventurier n’impliquait pas forcément qu’il ne faisait rien comme personne, et qu’il s’aventurait sur le fleuve Amazone avec juste un canoë, non.
Arthur songeait que s’il avait vu Cayleihn déjà auparavant, il serait étonnant qu’il ne l’ait pas remarquée d’emblée. Un visage, un corps comme celui-ci… il s’en serait souvenu, non ? Même qu’il aurait peut-être déjà tenté de l’aborder. Il décida que son esprit lui jouait des tours, et qu’elle devait peut-être ressembler à quelqu’un de sa connaissance. Ce n’était qu’une impression, c’était la première fois qu’ils se voyaient. Il aurait pu tout simplement lui poser la question, et il aurait su qu’il se trompait, mais il était certain de ne l’avoir jamais vue avant. L’erreur est humaine. En quelques questions, il en savait certainement déjà plus sur Cayleihn qu’elle n’en saurait jamais sur lui. Il n’avait aucune obligation d’être aussi secret, mais il détestait parler de lui. Il jugeait (alors que ce n’était pas à lui d’en juger), que sa vie n’avait pas assez d’intérêt pour en dévoiler le contenu aux autres, que sa richesse ne pouvait lui attirer que des ennuis. Prétentieux de sa part, mais d’un autre côté, il aimait garder ce voile par-dessus sa personnalité pour être mieux apprécié à sa juste valeur, et intriguer les gens. C’était sa façon de dire au monde « ne cherchez pas à savoir qui je vais devenir, regardez seulement qui je suis », car c’était le plus important pour lui. Avec le temps, il avait peur de devenir un jour comme son père ; un patron célibataire au cœur de pierre, qui passe son temps à travailler sans jamais s’amuser, et pour seule et unique raison : gagner toujours plus d’argent. Sottises de businessman ; il refusait de tomber dans ce vice. Un jour, il prouverait à tout le monde qu’on n’avait pas besoin d’être riche pour être heureux ! Un jour, il trouverait une solution pour mener sa propre vie, et être comme n’importe quel adulte de cette planète. Il ne savait pas encore que c’était beaucoup plus dur que le confort dans lequel il se prélassait, que vivre une vie normale n’avait pas tant de côté agréables comparativement à la sienne, mais il était résolu à ne vouloir que ça.
« Ouais, sans doute que pour un touriste sa doit être pas loin du paradis. J'adore New-York vraiment, mais je me plais un peu plus ici car les gens y sont plus... sympathique disons. En tout cas si t'as envie d'y faire un tour de ses 4, n'hésite pas à m'appeler je peux t'avoir de très bonne place en première classe tout à fait gratuitement et même une chambre de rêves dans un hôtel 5 étoiles.» Arthur rit, c’était une proposition qu’il garderait en mémoire. Pourquoi pas, après tout ? Partir comme n’importe qui, prendre le bus, l’avion, subir la foule, l’attente, l’inconfort. « Tss tss, seulement ça ? Je pensais que ton métier pourrait genre me débloquer pleins de pass VIP, que je pourrais aller dans les endroits les plus huppés de la ville et rencontrer tout un tas de star moi ! Juste un hôtel cinq étoiles… » Il roula des yeux avant d’éclater d’un grand rire à nouveau. A vrai dire, les pass VIP, ils les avaient déjà tous. « Voyons voir... j'ai 22 ans, sa fait 1 an que je suis ici... je dirais donc que j'y est vécu environ 21 ans.» « Oh, un bail alors ! » Les mots étaient sortis d’eux-mêmes. En clair, Cayleihn était nouvelle ici, ou presque. Elle ne devait pas encore connaître grand monde, mais après tout, il n’en savait rien, et peut-être y avait-elle de la famille. « Parle moi donc de toi Arthur. D'où vient tu ; que fais-tu ici ; as-tu une petite-amie ? » Il fronçât les sourcils, installant un silence embarrassant. Cayleihn rougit, se pensant impertinente. Il ne pouvais pas la blâmer, car au fond, c’était les deux premières qui lui posaient problème. « Laisse tomber ce que je viens de dire c'est pas mes affaires. On ne se connait même pas après tout... » Arthur rattrapa le coup avec son sourire charmeur, puis s’enquit enfin à la tirer de son embarras. « T’inquiète, c’est pas un souci. Oui, je suis célibataire, totalement célibataire. » Il rit pour détendre l’atmosphère, bien qu’un peu gêné encore. Remarquerait-elle qu’il avait évincé les autres questions ?! Il décida de continuer son chemin, l’entraînant à sa suite pour passer à autre chose.
Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Lun 29 Aoû - 23:58
Les voyages, le monde, l'avion Cayleihn l'avait expérimenter plusieurs fois déjà. Son père était très souvent appeler à se promener partout à travers le monde pour se trouver de nouveaux partenaires et entrepreneur pour garder sa chaine d'hôtel sur la carte, ou parfois tout simplement pour faire un tour dans ses hôtels voir comment tout se passe. Il aurait eu bien assez d'argent pour se payer une nounou pour garder la petite fille dans leur bel appartement new-yorkais seulement elle était sa seule et unique progéniture et il tenait donc beaucoup à l'amener avec lui à chaque fois. Elle avait donc parcouru presque tout les États-Unis et une très grande partie de l'Europe au cours de sa vie au cours de ces voyages d'affaires et aussi lors de leurs vacances d'été où ils se rendaient à une destination différente à chaque fois. Cela lui avait bien donner goût à l'aventure, l'envie de voyager. Maintenant que miss Eccleston avait un emploi stable, elle pourrait très bien faire ses valises et voir le monde seulement toute seule elle n'en voyait que très peu l'intérêt. Le seul voyage qu'elle avait effectuer toute seule était le trajet New-York / Sydney au cours duquel il n'y avait jamais eu de retour... Elle était partie de chez elle sans prévenir qui que se soit, prétextant avoir besoin de quelques semaines toute seule au soleil. Et voilà qu'une année plus tard ces "semaines" n'étaient toujours pas terminée. En arrivant dans la magnifique ville de Gold Coast, elle avait tout de suite su que c'était ici qu'elle devait vivre, du coup elle c'est pris un bel appart dans le plus riche quartier et avait déniché son travail d'agente. Cay' y avait également fait de merveilleuse rencontre donc celle de ce fameux Arthur. Plusieurs fois qu'elle l'avait croisé dans la ville, normal si on considère qu'ils vivent tout deux dans le même quartier à quelques pas l'un de l'autre, mais jamais auparavant elle n'avait réussi à lui adresser la parole. Tout ce qu'elle arrivait à faire était de penser à lui constamment mais sans jamais ne se faire remaruqer. Il ne savait présentement même pas qu'ils c'étaient déjà croisés souvent ou même quel nom elle avait avant qu'elle ne lui dise. Heureusement elle avait réussi à mettre un terme à cette ignorance et à finalement lui adresser la parole et elle ne le regrettait absolument pas puisque ça l'avait apporté à passer une journée merveilleuse.
« Tss tss, seulement ça ? Je pensais que ton métier pourrait genre me débloquer pleins de pass VIP, que je pourrais aller dans les endroits les plus huppés de la ville et rencontrer tout un tas de star moi ! Juste un hôtel cinq étoiles… » Ah ce qu'il avait le don de la faire rire ce cher petit Arthur. À presque toutes les phrases qu'il lui avait dites jusqu'à présent, elle avait rigoler. on pouvait donc dire qu'il avait tout un sens de l'humour celui-là... D'ailleurs la blonde continua sur la taquinerie. « Et bien pour ça il faudra m'emporter avec toi jeune homme. » Ce n'était qu'une simple plaisanterie mais pour dire vrai ça ne lui déplairait sans doute pas de faire un petit tour à New-York avec lui. De toute façon, il faudrait bien qu'elle y retourne un de ses jours assez rapidement et en plus elle connaissait cette ville comme sa poche pour s'y être promené de nombreuses et incalculables fois au cours de sa vie là-bas. Les meilleurs endroits et tout et tout, elle les connaissait très bien et y avait même un entrée VIP. Suite à cela il s'informa du nombre d'années que la belle avait passer là-bas avant d'arriver ici et elle lui avoua qu'elle y était rester pendant 21 ans. « Oh, un bail alors ! » Il avait tout à fait raison, elle y avait habité extrêmement longtemps. Cela ne faisait une seule année qu'elle était à Gold Coast donc elle était encore considérée comme une nouvelle et n'était pas extrêmement familière avec la ville étant donné qu'elle n'avait aucune famille ici ou quoi que se soit. Juste elle et elle seule. Cayleihn tenta de s'informer de son côté sur Arthur, depuis quand était-il ici, pourquoi etc. mais se rendit vite compte qu'elle aurait du s'abstenir. Un silence plus que gênant ne tarda pas à s'installer suite à ses questions et elle en rougit, honteuse de ne pas avoir réfléchi à ses paroles. Il finit comme à son habitude par ratrapper le tout avec un beau sourire charmeur. « T’inquiète, c’est pas un souci. Oui, je suis célibataire, totalement célibataire. » Cay' ne trouva mieux à faire que de laisser sortir un petit rire encore une fois. Elle avait très bien remarqué qu'il avait soigneusement évité les deux autres questions qu'elle lui avait posé auparavant mais décida de faire comme de rien n'était. Après tout, à peine si ils se connaissaient et elle était très bien placée pour comprendre ce que c'était de vouloir cacher sa vie à tout le monde, elle-même le faisait. Elle aurait bien aimer entamer ce genre de discussion philosophique avec Arthur, seulement continuer dans l'humour lui plaisait absolument tout autant. « C'est dommage pour toi, mais de mon côté sa m'arrange complètement. » Non non vous ne rêvez pas, la jolie jeune femme qui n'arrivait pas à lui adresser la parole tout à l'heure venait maintenant de le draguer sans retenue. Ce n'était pas dans une recherche de le mettre dans son lit mais plutôt dans celle de profiter un peu du fait d'avoir quelqu'un d'aussi beau à côté de vous car ça n'arrive pas à tous les jours. « Pour info, je suis tout à fait célibataire moi aussi ! » Cela elle le dit sur un ton amusé, donc avec un petit rire à la fin de la phrase et une petite grimace amusante et tout aussi mignonne.
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Mer 31 Aoû - 15:14
Cette fille, Cayleihn, lui plaisait bien. Il devait avouer qu’au premier abord, à l’instant où elle l’avait bousculé, il avait pensé que c’était une des ses filles imbues de leur personne et qui agressent les autres en se croyant supérieures à la normale, une fille qui ne s’intéressait qu’à son corps, superficielle, puisqu’elle était physiquement parfaite. Mais finalement… non. Elle s’était révélée être différente de ce qu’il pensait. En second lieu, il s’était dit que peut-être une stressée de la vie, une de ces femmes qui gâchent leur beauté par leur hystérie quotidienne, qui vivent chaque journée avec la peur du lendemain (sans qu’on sache pourquoi), et qui se fatiguaient en se posant des tonnes de questions inutiles à chacun de nous mais qui leur semblaient toutes existentielles. Arthur savait qu’il ne fallait pas juger les gens sans les connaître, mais il ne pouvait s’empêcher de s’imaginer pleins de scénarios différents lorsqu’il détaillait quelqu’un. Et ça, c’était les deux scénarios farfelus qu’il avait élaborés pour Cayleihn, avant qu’elle ne lui dise même bonjour. Une autre manière pour lui de s’amuser… Maintenant qu’il la connaissait un peu mieux, il voyait en elle la femme sûre, déterminée ; une businesswoman de la société qui convaincant d’un sourire charmeur, et qui menait d’une main ferme chacune de ses entreprises. Il sourit à cette pensée ; peut-être bien qu’il pourrait la faire travailler à sa place, plus tard ! Elle mènerait sûrement mieux les opérations de l’entreprise de son père que lui. Arthur était formé depuis plus de 14 ans maintenant, et connaissait le boulot de son père adoptif sur le bout de doigts ; sauf qu’il n’avait aucune envie de mettre en pratique tout ce qu’on lui avait enseigné. Cayleihn avait aussi de l’humour à revendre, et en cela, tous deux s’entendaient bien. Du coup, l’après-midi prenait une tournure plutôt agréable… Elle était New-Yorkaise, et agente d’artistes (et non pas businesswoman), ce qui en soit était une énorme responsabilité aussi. On pouvait presque s’étonner de la voir ici, car on s’imaginait les gens comme elle hyper occupés, n’ayant jamais le temps pour rien à part leur travail. Et pourtant, elle était bien là. Tant mieux ; il lui adressa encore un grand sourire.
« Et bien pour ça il faudra m'emporter avec toi jeune homme. » L’emporter avec lui, à New-York, pour obtenir les pass VIP ? Il rit. Cette contrainte n’en était pas une, c’était même une idée à garder pour plus tard, et il ne se gênerait pas pour lui rappeler la proposition en temps voulu. Il oubliait un moment qu’il n’aurait sûrement pas le droit de s’échapper à cause de son père, délirant tout seul. Il se dit que même sans les pass VIP, allez à NY avec quelqu’un comme Cayleihn serait tout simplement génial. D’habitude, il visitait tout toujours seul… Gold Coast était une bien belle contrée, mais seul, c’était beaucoup plus ennuyant à parcourir. La présence de Cayleihn rendait donc sa visite du SeaWorld Resort beaucoup plus attrayante à ses yeux, et il imaginait qu’en rentrant ce soir chez lui, il s’en souviendrait très certainement encore un bout de temps, tellement elle était inhabituelle par rapport à toutes les autres. « Jeune homme ». Cette appellation lui convenait, même si elle lui donnait l’impression d’être plus jeune qu’elle ; en vérité, il n’aurait su lui donner d’âge. Elle aurait pu avoir aussi bien vingt que trente ans, mais il préférait penser vingt. D’ailleurs, on ne l’avait jamais appelé ainsi. Il lui fit un clin d’œil à nouveau « Simplement Arthur, oublie pas ». Il passa bien vite sur la gêne installée quant aux questions de la jolie blonde, mais ce n’était pas sa faute si Arthur était si secret. Etait-elle intéressée par lui ? Est-ce cette question était intentionnelle, ou relevait-elle simplement de la curiosité ? Il eut bien vite la réponse à ses questions silencieuses. « C'est dommage pour toi, mais de mon côté sa m'arrange complètement. » Ca, c’était de la franchise à pur état. Du rentre dedans, voilà ce que c’était. Arthur ne pouvait s’empêcher de sourire, cela faisait longtemps que ça ne lui était plus arrivé. « Pour info, je suis tout à fait célibataire moi aussi ! » Elle l’avait dit sur le ton de la blague, mais ce n’était pas tout à fait le cas. Plus un rire et une grimace enfantine à craquer. Elle le charmait… Arthur rit pour cacher son embarras, et prit sa main pour l’entraîner à sa suite. « Allez, viens ! On a encore pleins de trucs à voir, et le parc ferme à 20h ! J’voudrais pas qu’on nous jette dehors ». Il rit. Façon élégante de changer de sujet, bien que ses yeux pétillent de malice. Il était ravi. Finalement, les poissons n’avaient plus aucun intérêt. Il la regardait plus elle que tout le reste…
Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Ven 2 Sep - 0:37
Cayleihn avait une personnalité qui pouvait changer dépendant des personnes qu'elle fréquentait. Au premier abord, les gens voyaient souvent en elle une femme absolument parfaite, sans imperfection, qui était complètement sure d'elle et qui était bien au dessus de tout le monde vu tout ce qu'elle possédait. Pourtant cette image s'effaçait complètement à partir de l'instant où elle commençait à discuter avec quelqu'un. Souvent elle montrait une image encore plus froide, seulement Arthur n'avait pas eu droit à cela. Cela avait pris un petit voir un grand temps avant qu'elle n'arrive à lui adresser la parole car sans trop savoir pourquoi avec lui elle bloquait, mais dès le moment où elle l'avait fait elle c'était senti complètement libre. Il était rare qu'elle pouvait être elle-même dans sa vie, généralement elle jouait la fille forte et intouchable qui n'a aucun désir ni émotions. Pourtant avec lui rien de cela, elle arrivait à rire et à sourire sans gêne et cela lui plaisait. Tout simplement, ce Arthur lui plaisait beaucoup car sa personnalité la rendait différente, plus sereine, et à la fois il l'intriguait aussi beaucoup. Il semblait secret sur sa vie, il cachait plusieurs choses importantes et bien que la plupart des gens en était offusqué Cay' trouvait que c'était charmant au contraire. Jamais elle ne le forcerait à dire quoi que se soit, elle se donnait plutôt le défi d'essayer de trouver par elle-même ses informations et si elle ne les découvrait jamais sa ne la dérangeait pas non plus. Elle était l'exemple vivante que le secret n'avait rien de mal dans une vie.
Provenant tout droit de la magnifique ville de New-York, Cayleihn venait apparemment de donner l'envie au beau Arthur de s'y rendre. Elle lui avait dit à la blague qu'il devrait y aller avec elle si il souhaitait obtenir les accès et les pass VIP. Oui c'était une blague au départ, seulement jamais ça ne la dérangerait si il lui demandait réellement d'y aller avec lui. Après tout, elle connaissait cette ville comme sa poche pratiquement et de plus le beau garçon était loin d'être de mauvaise compagnie donc sa lui ferait bien plaisir de faire ce voyage avec lui. D'autant plus qu'elle n'était pas super fan de retourner là-bas toute seule vu tout le monde qu'elle y connaissait se serait donc complètement à son avantage. « Simplement Arthur, oublie pas » Il la faisait bien rire ! Cette réflexion venait sans doute du fait qu'elle l'avait appeler jeune homme auparavant. Elle avait trouver ce surnom totalement approprier car il était encore bien jeune ce beau Arthur, elle ignorait combien mais se n'était fort probablement pas très loin de l'âge qu'elle-même avait, qui était de 22 ans. Suite à cette conversation miss Eccleston lui posa une série de 3 question, dont si il était célibataire. Ce n'était que pour satisfaire sa curiosité bien entendu, seulement de savoir qu'il n'y avait personne dans sa vie ne lui déplaisait pas non plus. Bah quoi, elle avait beau ne pas être du genre séductrice, elle restait une femme avec des envies et elle saurait où les satisfaire (a) Non non ne sautons pas d'étapes quand même. Arthur de son côté semblait un peu gênait voir embarrassé de cette conversation qu'ils avaient là tous les deux donc il l'entraina un peu plus loin en lui prenant la main. Bientôt on les croirait en couple xD « Allez, viens ! On a encore pleins de trucs à voir, et le parc ferme à 20h ! J’voudrais pas qu’on nous jette dehors » Ce qu'il était charmant, franchement il la faisait craquer. Se serait quand même amusant qu'ils se fassent jetés dehors... ou pas car leur soirée se terminerait de façon plutôt brusque. Oh mais non, ils trouveraient quelque chose d'autre à faire. « Oui allez, visitons tout ça si on ne veut pas avoir à se cacher dans un aquarium pour rester ! »
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven. Lun 12 Sep - 21:26
Arthur n’avait aucune idée du temps qu’il avait passé ici, depuis le début de l’après-midi. Il s’amusait à un point tel que les minutes défilaient sans qu’il ne le sache, que l’heure tournait bien trop vite à son goût. D’ordinaire, il n’aurait pris qu’un mince plaisir à observer ses amis marins, et il aurait rapidement fait le tour du parc pour rentrer chez lui, dans sa voiture aux vitres fumées. Il aurait claqué des doigts pour que son majordome le dépose à bonne adresse, ce serait peut-être arrêté rapidement dans un bar pour aborder quelque jolie jeune femme, aurait bu un verre, aurait soupiré de lassitude et ce serait finalement enfermé à double tour dans sa villa qui faisait la taille de trois bonnes maisons. Mais, dans les circonstances actuelles, c’était la dernière chose qui lui venait à l’esprit. Et tant mieux, car c’était rare. Pour lui, les jours passaient, monotones, en rien dissemblables à ceux d’avant, faits d’argent et de luxe, de sourires et de rencontres banales. Il discutait avec tout le monde, sans pour autant trouver une quelconque distraction dans l’échange, bien souvent obligé de monologuer. Les gens d’ici n’étaient pas forcément très avenants envers les inconnus dégourdis. Aussi Arthur était-il souvent laissé pour compte. Mais après tout, personne ne pouvait savoir qu’il ressentait au fond de son être un besoin profond de communication avec les siens, puisqu’il vivait reclus dans sa prison dorée, privé d’une vie sociale ordinaire. A bien y réfléchir, l’élargissement des contraintes de son père ne l’avançait pas à grand-chose, sinon à se croire plus libre qu’il ne l’était réellement. Viendrait un jour où, oui, il aurait enfin le courage de tout plaquer et de s’évader réellement dans la nature. Car jusqu’à maintenant, ses fugues n’avaient été que façade, impression, mirage pour créer la crainte dans le cœur de son père adoptif, sans aucune intention de s’évader pour de bon…
Le vent caressait ses cheveux, et élargissait d’autant son sourire béat. Une journée ancrée dans un bonheur qui n’était pas sien. Pour une rare fois, il pouvait sentir glisser des parcelles de contentement entre ses doigts, sans pour autant parvenir à les saisir à jamais, et les emprisonner dans un bocal. Mais qu’importe, il laissait ce sentiment le couvrir d’un manteau de satisfaction, chantant intérieurement de joie. Il entraina Cayleihn à sa suite, mettant un verrou sur le sujet drague qu’elle avait entamé. Il voulait prendre son temps, et ne pas se jeter à bras ouverts dans une relation. Après tout, ils ne se connaissaient même pas, ou peu, et il ne voyait aucune raison évidente de se confier à elle sur la vie qui était la sienne. Il ne se confiait jamais à personne, et même si cette femme le faisait rire ou sourire constamment, cela ne changeait rien. En fait, il se persuadait intérieurement que cela était du pareil au même, pour ne pas voir son mystère disparaître par inadvertance. Il voulait rester celui qu’il était, en toutes circonstances, et non pas s’ouvrir à la jolie blonde comme un garçon trop facile. Qu’il était borné… « Oui allez, visitons tout ça si on ne veut pas avoir à se cacher dans un aquarium pour rester ! » comme on s’en serait douté, à la vision de leurs deux personnes dissimulées dans un aquarium, le gardien vérifiant que tous les visiteurs aient bien quittés les lieux. Ce genre de scènes n’existait que dans les films, où du moins, c’est ce qu’Arthur avait toujours cru. Peut-être que ça lui arriverait à lui. Il ne savait plus trop quoi dire pour rebondir, encore un peu gêné de la précédente conversation, mais il fallait bien qu’il trouve un moyen de relancer la discussion. « Alors… tu préfères quoi ? NY, ou GoldCoast ?! ». Il lui fit un grand sourire, comme pour dire « tu préfère forcément ce lieu là, puisque tu m’y as rencontré », plus pour rire qu’autre chose, bien que cela soit dans le style d’Arthur d’être parfois un peu vaniteux.
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Sujet: Re: CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven.
CAYLEIHN & ARTHUR ϟ goodbye mother earth, I just got a free-pass to heaven.
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